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CHTAKATA_
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13 décembre 2008

MAM Michelle !

A la lumière de la tartufferie de notre ministre de l'intérieur, j'ai nommé MAM, ou Michelle Alliot-Marie, depuis le début de l'affaire des terroristes de l'ultra gauche... Il est temps de se demander d'où vient notre dame de fer, notre grande pourfendeuse de terroristes-épiciers. Que nous dit Wikipédia aujourd'hui 13 déc 2008. Je vous laisse mettre toutes ces infos au conditionnel pour le moment...

Etrangement MAM ne viendrait pas de la france d'en-bas, elle est la fille de Bernard Marie, ancien député-maire de Biarritz.

Petite parenthèse au passage et appel à tous les défenseurs des droits de l'Homme politique : assez des cadences infernales, arrêt du cumul des mandats, ils nous expliquent assez que leur charge de député est lourde, que la masse de travail est énorme, qu'on ne peut même pas s'imaginer, nous, pauvres gens du bas. Alors les maires nous disent biensur la même chose de leur travail, ne parlons même pas des ministres et autres huiles, se gavant sur le dos de la république, mais ces sur-hommes arrivent tout de même à assumer plusieures de ces taches herculéennes en même temps !(?) Fin de parenthèse, bien que vous verrez que cela fait partie du sujet...

MaM ne perd pas de temps. Durant ses études de droit, elle se marie en 1971 avec son prof Michel Alliot, qui grenouille lui, chez Edgar Faure (le ministre de l'éducation nationale en 1968_69 de belles années...). Avec lui, elle fréquente les milieux universitaires et ministériels, c'est toujours utile... Comme de bien entendu, en 72, elle est appelée par Edgar Faure (devenu ministre des affaires sociales) comme conseillère technique. En 73, elle trouve le temps de devenir docteur en droit grace à sa thèse, accrochez-vous, sur le Salarié actionnaire, puis retourne aux ministères de 74 à 76, qu'elle n'avait pas quittés vu qu'elle grenouillait aussi aux DOM TOM ou au Tourisme... Tout cela s'embrouille un peu... Mais continue jusqu'en 1978, où elle part ! Pour devenir administratrice puis PDG de la société Uta-Indemnité entre 79 et 85. Ah ! J'oubliais, elle exerce aussi les fonctions d'avocate... Soit MAM a deux ou trois cerveaux, soit il y a des fonctions ronflantes qui paient mieux qu'elles ne fatiguent...

Notre MAM devient élue d'un village, Ciboure, proche du fief paternel de Biarritz en 1983. Puis un an après elle retrouve papa à Biarritz. Et en 91 malheur ! Papa qui voulait construire un casino sur le front de mer se fait jeter. Notre MAM est aspirée dans le siphon avec lui...

J'arrête ici ce premier article sur notre grande MAM, la suite au prochain épisode. Des que je trouve une bio officielle se sera plus drole encore.

 

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